http://www.dailymotion.com/relevance/search/plantes+medicinales/video/x6rgo5_simples-plantes-sauvages_lifestyle
http://www.syndicat-simples.org/
L'Europe réduit l'utilisation des principes actifs dans les médecines dites alternatives et les compléments alimentaires. Ainsi, nous n'aurions pas d'autre choix que celui de l'aspirine en cas d'état grippal, de la cortisone sur une maladie de peau bégnine... Bref, pas le choix de notre médecine et de notre bien être.
Voici des liens sur ce sujet et une pétition à signer.
http://demainmaintenant.ning.com/events/codex-alimentarius?rsvpConfirm=1
http://www.consumersforhealthchoice.com/index.php?option=com_content&task=view&id=268&Itemid=225
Comme il faut organiser une résistance, je commence par la rue fétide, répulsif des insectes, vipères, chats et chiens. Arbuste toxique dont les principes actifs peuvent provoquer des irritations de peau, son ingestion un gonflement de la langue, l'intoxication peut être encore plus sérieuse.
De ces deux compagnies, persiste de nos jours la Société du Tir au Papogay.
Son but est de maintenir la noble tradition du tir à l'arc (sur un oiseau de bois et de fer juché sur un mât de 45 m de haut, cet oiseau s'appelant Papogay (perroquet en langue d'oc).
Histoire: à l'origine, un entraînement guerrier
Les victoires des anglais et d'Edouard III sur Philippe VI en 1346 démontraient la supériorité de l'Arc et de l'Arbalète. Instruit par ces sanglantes défaites, Charles V (dans ses ordonnances de 1369) enjoignit à ses sujets d'imiter leurs ennemis en s'exerçant au tir à ces deux armes.
Mais bientôt d'autres armes aparurent grâce à l'usage de la poudre, et aux xve et xvie siècles, rares furent les villes qui mirent encore en pratique les ordonnances de Charles V.
Le jeu est resté cependant à l'honneur au Nord et au Sud de la France. Les joueurs prirent pour cible un oiseau de carton, puis de bois, placé au bout d'une perche, qu'ils appelèrent Papogay
Visite du village d'Allègre sous la bise. Askatu, homme du sud-ouest, grelottait.